L'art d'être une femme dans la Chine ancienne
L'art d'être une femme dans la Chine ancienne
Bonhams a récemment accueilli ce qu'il affirme que la première vente aux enchères s'est concentrée sur la représentation des femmes en art chinois, intitulé, la beauté et au-delà: les femmes de l'art chinois.
L'attraction principale était une silhouette de bronze d'argent rare et incrustée en argent de Guanyin datant au 16ème ou au 17ème siècle mais avec la dynastie Tang (618-907) Caractéristiques. Les détails méticuleux de la robe et des accessoires de la figure et du fait qu'il s'agit d'un spécimen très rare à partir de la période qui l'a obtenu de 4,3 millions de dollars HK (554 000 $).
" Avant la dynastie Tang, des divinités bouddhistes étaient décrites sous la forme d'hommes, mais depuis la dynastie Tang, la Guanyin est apparue comme une figure féminine ", a déclaré KASONNE Tang, spécialiste de Bonhams sur des œuvres d'art chinoises. "Nous ne savons toujours pas pourquoi."
Cependant, ce n'est pas la seule raison pour laquelle les lots comprenant des sculptures de Guanyin et Xiwangmu (Queen mère de l'Ouest) - une des plus anciennes dieux féminines de La Chine - ont été considérées comme particulièrement intéressantes, dit Tang. Ils sont peut-être la seule dynastie Tang "figures féminines" qui ont continué à être voluptueuse, avec des faces de rond - caractéristiques qui caractérisent des sculptures de dynastie pré-Tang.
Pavillon de jade vert pâle inspiré par le célèbre jeu chinois, romance de la chambre occidentale, écrit par la dynastie Yuan (1271-1368) dramaturge Wang Shifu, a tiré la deuxième offre la plus élevée du soir - 3,5 millions de HK $. La parcelle se concentre autour d'une histoire d'amour tragique entre Cui Yingying - la fille d'un ministre de haut rang - et de Zhang Sheng, un jeune érudit. La scène représentée dans les tridimensions La pièce montre le protagoniste féminin qui attend son amant à une fenêtre circulaire. Les pièces de jade du XVIIIe siècle ont été recherchées par l'empereur Qianlong (1711-1999), et reste populaire parmi les collectionneurs aujourd'hui. Ce lot est apparu dans une vente aux enchères en 2007.
Accessoires de cheveux ont généré beaucoup d'offres. Un certain nombre de lots dans cette catégorie ont augmenté les prix multiples de leurs estimations de la prese.
Un panneau de réfrèvrse de l'or rare de la dynastie Liao (916-1125) extrait 377 500 $ - plus du double de son prix estimé; tandis qu'une coiffe de plumes markefisher de Jadéite, Tourmaline, Pearl, Quartz et d'autres pierres semi-précieuses ont été vendues quatre fois son estimation de la présagne à 877 500 HK. appelé Dianzi - qui se traduit par "Bague de chapeau" - ces coiffes ont été portées par NobleWomen. Les pendentifs du front de double bonheur suggèrent le pièce a été portée lors de mariages.
" Nous voulions montrer au public comment les femmes vivaient avant le 20e siècle, avec des bijoux, des accessoires et des personnalités qui ne comprennent aujourd'hui pas ", déclare Tang, Expliquer l'inclusion d'accessoires comme les gardes des ongles, les plaques parfumées, les bouteilles de tabac à tabac, des boîtes d'encens et plus dans les lots.
La vente aux enchères a été divisée en trois catégories." Beauté Suprême: Talents et vertus "Des travaux reconnus par des femmes éduquées;" Représentations de la dynastie Ming imprimée des femmes " Cela a examiné les vertus intérieures plutôt que l'apparence physique; et "l'évolution des normes de beauté" ont mis en évidence le contraste entre les images de femmes voluptueuses répandues dans la dynastie Tang et la dynastie des chansons (960-1279) et les profils minces et élégants de l'époque ultérieure.
Globalement, les lots provenaient principalement de la dynastie Ming (1368-1644) et de la dynastie Qing (1644-1912), au cours de laquelle les femmes représentent dans l'art n'étaient plus principalement engagés dans des tâches et des activités appropriées à leur station conformément aux principes du Patriarcal confucé.